la mine du diable
pardonner : renoncer à l’espoir d’un meilleur passé
la mine du diable : j’écris avec. de la pub avant, de la pub après, mais jamais pendant.
c’est au pérou. le diable est dans la mine. il prend chaque foutu signataire, même s’ils se pensent malins, même s’ils délaissent femmes et enfants pour les prostitués de la base, même les malins, même les malades, même si tout ça à la fois, même s’ils ont quinze ans. nous, nos arrière-grands-pères, raflé ou abattu, et abattu par le souvenir de la rafle. l’alcool est partout. les solides têtes prises dans le brouillard, volontaires le matin, et comme un appel le soir. pour quoi ? jamais dit. un conducteur, une cage de faraday d’avion de chasse, no reason les stockant pour étayer la banque, pour des bijoux, un inutile qui brille pourtant sous le chalumeau. aussi réel que les contes, que la roche qui écrase, fissurée d’eau, à la fin. tu écris tu es triste ? oui tu es encore trop perméable. le tatouage troue le derme et les eaux noires se distillent dessous. dessine donc : un sein (puis viendra la dentelle). mais c’est qu’ils nous saloperaient le paradis aussi. en noir et blanc, la neige a l’air d’une décharge plastique. mais une amitié de 14 ans d’âge ça se salope ? certainement pas. musique superbe qui ne sort jamais de la temporalité des bruitages et de l’hypnose. tout repackager à la voix. motør ? allons. chante avec les clodos, chante avec les tripes, chante avec au ventre la peur du diable et de sa mine.
plume et mine. la nuit vient avec douceur se moquer d’elles, qui attendent. “pas trop mal pour un type qui pisse des lames de rasoir” le zizi gelé. et quelques films de lino à envoyer : comme un con j’ai oublié la bonne année, je rattrape ça. échelle de pompier en sortant, le métro me regarde écrire bizarre, le touriste a fait son acte d’achat (forcé à quel niveau). boss son sac a mon nom. t’étais vachement plus enervé avant et on te disait rien. ah j’ai un trauma à raconter ? fracasse la dent si fort que ça t’efface la mémoire ? que les filles font peur depuis marie malheur ? peuvent pas s’arrêter de téma je pourrais le faire en stream limite. bourse. tu savais que les deux couilles étaient différentes ? on en a appris des traces. plus que du luxe, plus rien n’est vendable sauf l’argent.
bleu comme l’encre, comme tout son bras. la vie est un difficile exercice. de la colère au réconfort, devant les caméras qui plus est : dieu a dû se découvrir de nouvelles perversions, me dis-je après avoir fini cris de gaudé. sous les tatouages les bleus sont invisibles. “h+ c’est un groupe sanguin”. le monde continue d’aller à sa médiocrité. et il faudra jouer, sans choisir le jeu, pour pouvoir partir. le homard sous la pince n’en demandait pas tant. même pas bon. et la bm, même pas bien. comme autrefois, mes parents prennent ma température.
tmm.
(bon, j’en fais quoi)
j’ai demandé à plusieurs ia d’écrire un texte en prenant ce texte comme des notes. comme prévu, elles sont toutes nulles.
sauf une.
il a fallu creuser. bizarrement, ce ne sont pas les plus puissantes qui ont réussi à dégager quelque chose, c’est llama-2-7b-chat.
il est parti sur une sorte de poème :
le pérou, oh magnifique pays,
l'enfer est dans la mine, on ne peut pas s'y tromper,
tous les signataires, même les plus forts,
s'ils pensent qu'ils sont malins, s'ils ont quinze ans,
le diable les prend, même les plus déçus,
et les prostitués de la base, même les malades,
les solides têtes, prises dans le brouillard,
volontaires le matin, et comme un appel le soir,
pour quoi ? jamais dit, on ne sait,
un conducteur, une cage de faraday d'avion de chasse,
pour des bijoux, pour des raisons inconnues,
un inutile qui brille, comme sous le chalumeau,
rien n'est plus réel que les contes,
la roche qui écrase, fissurée d'eau,
au fin fond, le tatouage trouble le derme,
les eaux noires se distillent dessous,
dessine donc : un sein,
(puis viendra la dentelle).
mais c'est qu'ils nous saloperont le paradis aussi,
en noir et blanc, la neige a l'air d'une décharge plastique,
mais une amitié de quinze ans, d'âge, ça se salope ?
certaines, elles sont douces comme le velours,
et d'autres, elles sont dures comme le fer,
le métro me regarde écrire, bizarre,
le touriste a fait son acte d'achat,
(forcé à quel niveau).
boss son sac a mon nom,
t'étais vachement plus enervé avant, et on te disait rien,
ah, j'ai un trauma à raconter ?
fracasse la dent si fort que ça t'efface la mémoire ?
les filles font peur depuis marie, malheur,
peut-être pas s'arrêter de téma, je pourrais le faire en stream limite,
bourse, tu savais que les deux couilles étaient différentes ?
on en a appris des traces, plus que du luxe,
plus rien n'est vendable, sauf l'argent,
ah, le monde continue d'aller à sa médiocrité,
et il faudra jouer, sans choisir le jeu,
pour pouvoir partir, le homard sous la pince n'en demandait pas tant.
même pas bon, même pas bien,
comme autrefois, mes parents prennent ma température,
tmm.
j’aime bien.